que l'on se ferme la gueule
Autrement, «ben qu'on reste chez nous, que l'on se ferme la gueule et qu'on arrête de dire que nous sommes fins», lâche-t-il.
Roméo Dallaire met en garde les Québécois, Martin Ouellet, 10 avril 2007
Réagissant à cette une comme invité chez Bazzo.tv hier, Dany Laferrière, posé, parle d'un militaire qui s'adresse à la société civile comme s'il ordonnait des soldats, traitant le peuple comme des déserteurs. Bazzo est mal à l'aise, et rétorque: "mais pensez vous que les pacifistes ont toujours raison sur toutes les guerres?". Premièrement: le peuple québécois est-il ici assimilé aux 'pacifistes' ? Aucun sens, alors réfléchissez deux secondes: est-ce que Marie-France Bazzo est une cruche ? Peut-elle vraiment croire qu'il s'agit là d'un argumentaire valide face à celui sans artifice de Laferrière, argumentaire par ailleurs sans lien avec le propos de celui-ci, qui porte sur le nième faux pas du général Délire ? Alors, ne voilà-t-il pas l'expression de cette fameuse ligne de démarcation, qui définit le rôle des 'liberal medias': "thus far, but no further" ? l'Afghanistan est le point focal du renouveau impérialiste canadien, et les pressions se maintiennent dans le moulin des médias, malgré le ridicule des prétentions, ne serait-ce que militaires, et encore une fois les comparaisons avec l'occupation russe sont criantes.
... denounce the pacifists for lack of patriotism and exposing the country to danger. It works the same in any country...
Libellés : afghanistan, propagande
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