Objectif premier
Notre seul objectif stratégique: saborder, couler, éliminer et liquider Ottawa.
Pas réalisable?? Faux. Très réalisable dans les conditions qui s'en viennent et dont les assises sont en place dès maintenant.
Pour assurer sa pérennité, un État doit rigoureusement mettre en pratique les principes universaux qui gouvernent tout agir d'envergure. Sinon, il s'écroulera et personne ne viendra pleurer sur sa chute.
Or, Ottawa n'a jamais suivi qu'un seul courant, pas un principe, mais un courant dont les deux composantes sont le pouvoir pour le pouvoir et l'argent pour l'argent. En fin de compte, ce que veut l'Oligarchie, c'est qu'il n'y ait plus qu'un seul troupeau et un seul pasteur from coast to coast in Canada.
Le troupeau, c'est NOUS, Québécois, bande de naîfs et de demi-instruits, des gens qui connaissent tout sauf l'essentiel.
Le "pasteur", c'est le Family Compact du Haut Canada, l'Oligarchie, qui a provoqué la guerre de 1837-39 et en a profité pour renforcer son emprise, avec l'aide de la "Clique du Château" et de leurs "tizamis", les collabos du Québec qui se sont vendus et se vendent encore aux premiers.
Le mépris ne dure qu'un temps, René Marcel Sauvé,6 octobre 2005
Le Parti libéral du Canada, section Québec (PLC-Q), s'est tourné vers Jacques Corriveau afin d'obtenir de 250 000 à 300 000 $ en liquide pour arroser les circonscriptions acquises au Bloc québécois, selon l'ex-directeur général de la formation, Michel Béliveau, dont le témoignage devant la commission Gomery accrédite l'existence d'une caisse occulte pour le financement des campagnes électorales.
Michel Béliveau, D-G, Parti libéral du Canada, section Québec [1996, 1998]
"Il ne fait aucun doute que la Loi électorale au Québec a été violée — moi, c'est mon opinion —, a été violée, voire bafouée. C'est clair que l'argent a joué un rôle, je ne dirais pas majeur, mais essentiel dans ce référendum-là. Ne pas avoir eu les ressources 'occultes', je ne suis pas convaincu que nous aurions gagné un référendum."
L'ancien directeur de la section québécoise du Parti libéral du Canada, Benoît Corbeil, affirme qu'un réseau de libéraux influents contrôle la nomination des juges et l'octroi des contrats et des subventions.
Benoît Corbeil, D-G, Parti libéral du Canada, section Québec [1998, 2001]
M. Dezainde a carrément perdu le contrôle du financement du parti au profit de Joe Morselli et de son adjoint, Beryl Wajsman. Ce dernier refusait même de se rapporter au directeur général, une situation que M. Dezainde jugeait inacceptable. Il s'en est plaint au ministre Gagliano, qui l'a renvoyé à son chef de cabinet, Jean-Marc Bard, et à Joe Morselli pour tous ses besoins d'argent.
Daniel Dezainde, D-G, Parti libéral du Canada, section Québec [2001, 2003]
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