La guerre des sexes
Young women in New York and several of the nation’s other largest cities who work full time have forged ahead of men in wages, according to an analysis of recent census data.
For Young Earners in Big City, a Gap in Women’s Favor, Sam Roberts, 3 août 2007
De même que lorsque le taux de chômage des hommes a dépassé celui des femmes, de même que lorsque le ratio universitaire des femmes a dépassé 60 % ... la liste est longue. Mais le discours sur le patriarcat continue. Et pour cause: les femmes, des hommes. Il est facile d'envisager la suite: des sociétés d'hommes balayeurs et manutentionnaires et de femmes cadres et professionnelles, avec une minorité décroissante de mâles alphas au sommet. Et le discours sur le patriarcat continuera, tant que cette minorité ne sera pas disparue, une impossibilité.
Je pense à la tangente que tout cela prendra: japonaise ou indienne ? J'opte pour la japonaise, et qui sait, avec un peu de chance j'ai raison.
Her body is mostly bisexual, and her decision to be straight or gay, or neither, isn't biology so much as choice
The Vagina Dialogues, Sarah Fenske, 15 septembre 2005.
Je me rappelle le débat du 6 octobre 2006 à il va y avoir du sport. Josée Boileau y rageait. D'une part: les prix Nobels sont sexistes: les femmes n'en gagnent pas autant, et d'autre part, les écoles ne doivent pas changer: si les garçons y sont grandement perdants, c'est que... Notez l'inversion, la suppression de la rationalité que cette apposition demande. L'immoralité. Et les prix nobels représentent une élite (des), alors que l'école devrait être le lieu ultime de la démocratie (les).
Je rappelle que les femmes sont hypergames.
Libellés : féminisme
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