De l'ironie
Tout de même, bien qu’elle travaille pour le Journal, elle reste une anglophone : ses enfants vont donc à l’école anglaise [...]
Samedi dernier, après avoir remis ses articles à ses patrons, Noée Murchison alla avec une amie dans des magasins du centre-ville pour s’acheter quelques vêtements. Coquette, elle voulait bien paraître à la télévision où on ne manquerait pas de lui demander de parler de son enquête. Même si elle parlait en français avec son amie, elle se fit servir en anglais uniquement partout où elle passa ! Elle en rit encore… « Mais pourquoi évacuer cette situation si c’est la réalité ? », se demande-t-elle soudain d’une voix grave.
À propos du français dans les commerces, Michel Vastel, 19 janvier 2008
Au fur et à mesure que cette majorité simple s’érodera davantage, il faudra des doses de plus en plus massives d’optimisme ou de naïveté pour prétendre que le français deviendra et restera « la langue normale et habituelle du travail, de l’enseignement, des communications, du commerce et des affaires », tel que souhaité depuis 30 ans dans le préambule de la loi 101.À écouter absolument, une émission spéciale de la radio de radio-canada, un survol-coup de poing de la situation avec entre autres Pierre Verville. Excellent. Francophone, Montréal?, 5 août 2006 [audio]
Des inquiétudes qui ont des fondements démographiques, Michel Paillé, 6 octobre 2006
Montréal, ville française?
Libellés : colonialisme
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