Tadam! Ma première entrée sur BHL
Garrison Keillor, du New York Times: "La prose de [Bernard-Henri] Lévy est comme un barbouillage de peinture, grandiloquante comme celle d’un minable collégien. On se demande, à le lire, si c’est ainsi que les Français écrivent ou s’ils ne réservent cette nullité que [lorsqu]'ils pondent des livres sur l’Amérique. [...] Lévy écrit comme un étudiant qui bâcle un sujet d’examen à la va-vite, en faisant du remplissage. Il nous fait rire quand il prétend qu’Hillary Clinton brigue la présidence pour effacer la honte de l’affaire Lewinsky." Le New York Times conclut: "Ce livre n’a aucune raison d’être. Lévy est le symbole d’un écrivain* court sur les faits et long sur les conclusions". Un autre journaliste du New York Times, qui a côtoyé BHL, n’arrive pas à cacher son exaspération: "Très souvent, quand vous voyagez avec BHL en voiture, vous avez envie de lui dire de la fermer cinq minutes et de mieux regarder le paysage. Je le trouve paresseux".
via-1 Contre exemple BHL, Pierre Bouchard
*la version est ici allégée pour cacher la pique précise du texte original... tient tient.
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