Vrais blogueurs, faux blogueurs
Inspiré par Anne Archet, toujours langagement influencé par Loco Locass, mais sans aucune mesure avec ceux-ci, voici une épigramme de mon cru sur le bloguage. Ne cherchez pas la finale satirique. Y'en aura pas de satire. Plus tard.
Mais franchement mon pauvr' inami tu nous blogues du contenu
dont on n'saura au grand jamais d'où il sera provenu
'heille j'ai vu ce site hier en m'tappant du transbbudha
tient tient j'ai blogué ce fait divers y'a de ça un mois'
L'idée c'est quoi au juste, qu'on pense que tu découvres des sites
en tappant des lettres au hasard dans la barre des adresses,
Hmmmmm 1 sur 4 milliard au mieux si tu t'y prend ben vite
Tu t'imagines que personne se rend compte de ta bassesse
T'es qu'un vulgaire, minuscule et pathétique parasite
En solidarité avec la résistance Irakienne,
deprenyl
Petit poème qui se termine par une attaque qui tient de la satire. L'une des épigrammes les plus connues de la langue française est celle que Voltaire écrivit -non sans humour- contre un adversaire des philosophes nommé J. Fréron:
L'autre jour au fond d'un vallon
Un serpent piqua Jean Fréron
Que pensez-vous qu'il arriva ?
Ce fut le serpent qui creva.
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