Lecture nécessaire suite: le cas Dallaire
Voici une note (la no 16, si vous voulez savoir) du texte lié dans le billet précédant concernant le général Dallaire. Je l'ai déjà surnommé général Délire, je suis honteux d'avoir utilisé l'humour bon enfant pour décrire cette pourriture.
Dallaire, who has attained heroic status for allegedly “resisting” the genocide, and who has been a “fellow” of Harvard’s Carr Center for Human Rights, was actually a virtual agent of the invading Kagame forces. He closed one axis of the Kagali airport runway to make the shootdown easier, refused to allow a nearby French investigative team to investigate the crime, failed to warn the Rwanda government of the military buildup of the Kagame forces, and was charged by his direct superior, Dr Jacques Roger Booh-Booh, with working in collaboration with the RPF and also taking orders from the US and Belgian embassies in Kigali. (See his Le Patron de Dallaire Parle (Paris: Duboiris, 2005) )
Et notre militaire humanitaire favori avait ceci à dire au début du mois: La France a aidé les génocidaires, témoigne Dallaire, un papier d'André Noël, le même qui avait officié à l'attaque contre Robin Philpot, tout juste avant les élections québécoises où Philpot était candidat.
Ajout 31 octobre: J’ai serré la main du diable, Robin Philpot, 28 octobre 2007
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