Clair
Plus sérieusement, M. Rozon semble confondre bilinguisme individuel et biculturalisme, qu’il soit individuel ou collectif. Primo : dans les faits, très peu de Montréalais sont véritablement biculturels. Secundo : Montréal n’est pas une ville biculturelle. C’est une ville où deux cultures et deux langues vivent en parallèle et se disputent l’intégration des nouveaux arrivants. Leur rapport en est donc un de compétition.
Plamondon & Rozon, Josée Legault, 9 mai 2009
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