Rires et rigolades safrans
Ah bon je me désabonne... plus tard. N'empêche que ne serait-ce de Vigile et son alléchante entête, je n'aurais pas lu ce drôlissime papier de Mario Roy de la Paresse, auquel je suis abonné.
[L']étonnante persistance ici du bon vieux pacifisme-à-papa, dont la doctrine fondatrice veut que la planète se porterait mieux sans guerres, et le pays sans armée. C'est rigoureusement exact. Mais, tant qu'on ne nous expliquera pas en détails comment en arriver là, ça n'a qu'un intérêt chansonnier.
Première étape: un soutient financier public aux médias indépendants, où, l'histoire en fait foi, hasard, tous ne sont pas 'américains' au sens propagandiste du terme.
[...]
[U]ne politique extérieure forte, possédant les moyens notamment militaires de ses ambitions, est la seule façon pour un pays de faire rayonner son indépendance.
Voir remarque précédente
[...]
obligation morale ... une modeste nation qui n'entend pas se désengager complètement du monde dans lequel elle vit.
Applaudissements
L'atout de la mobilité, Mario Roy, 29 juin 2006
In fact, the West claims what’s called a “responsibility to protect”. I think in Canada it’s even an official doctrine. The world doesn’t accept it. The UN summit last September flatly rejected it.
Entrevue Noam Chomsky, Irish Times, 24 janvier 2006
- "imperialism doesn’t stop being necessary just because it becomes politically incorrect." -Michael Ignatieff, New York Times Magazine, 28 juillet 2002
- "America’s empire is not like the empires of times past, built on colonies, conquests and the white man’s burden.... The 21st century imperium is a new invention in the annals of political science, an empire lite, a global hegemony whose grace notes are free markets, human rights, and democracy, enforced by the most awesome military power the world has ever known." -Michael Ignatieff, New York Times Magazine, 5 janvier 2003
On trouvera ces citations ici; des commentaires récents d'une grande pertinence sur Ignatieff et le futur du Canada se retrouvent sur le blogue canadien Dark Age, sous la plume de Longsword: Michael Ignatieff, Decadent (Part 1) et Michael Ignatieff, Decadent (Part 2), en gros:
In effect, however, (and this is most disturbing for the prospects of a homegrown Canadian political culture), both Harper and Ignatieff are Canada's hollow men and empty mirrors, mere echos and reflections of what is going on south of the border in mainstream American party politics, either of the New Right Republicans or the mainstream "New Democrats". And I find the implications of this quite disquieting. It casts in doubt the future independence and sovereignty of the country -- potentially transforming the country into a mere shadow and echo of what goes on in the United States.
Ai-je besoin de mentionner Boisclair, un grand fan d'Ignatieff ?
1 Commentaires, commanditaires:
oui bon,
y'a pas grand chose à comprendre de ce billet. Que veux-tu dire exactement?
Que Ignatieff est un con fini?
Si c'est ça, dis-le franchement et explique-le dans tes mots.
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