Arrière?
Je déplore que les québécois aient perdu leur temps essayer de changer la constitution au lieu de vivre réellement la confédération et participer sans arrière pensée au développement de notre pays communDécidément, l'été va être chaud.
Monsieur Bernard Gervais, ce colonisé !!!, Fernand Trudel, 3 février 2009
Mais est-ce que les choses peuvent ainsi changer drastiquement du jour au lendemain? Est-ce qu’un peuple qui subit tout sans rechigner depuis des lustres peut, instantanément, devenir belliqueux et désireux de repousser fermement ceux qui lui mangent la laine sur le dos depuis trop longtemps? À venir jusqu’à hier ou avant-hier, en fait, jusqu’à ce que l’arrogante Commission des champs de bataille nationaux affirme vouloir aller de l’avant avec la reconstitution de 1759, je croyais que non. Mais en considérant la réaction des Québécois, dont la très grande majorité sont choqués par ce projet canadien devant se tenir sur les plaines d’Abraham que le fédéral nous a usurpées voilà un siècle de cela, je ne le crois plus. Je suis aujourd’hui persuadé que la témérité et l’arrogance dont les gens d’en face font preuve dans le présent dossier, ils les payeront chèrement.
Y’a toujours bien des osties de limites!, Patrick Bourgeois, 30 janvier 2009
Sur Gilles Parent.
Libellés : canada, colonialisme, québec
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