saisissant
On a cru que les anglophones finiraient par se franciser lorsqu’ils quitteraient l’île, mais c’est le contraire qui s’est produit: ce sont les francophones qui s’anglicisent et qui contribuent à augmenter la tension linguistique sur des banlieues de plus en plus éloignées. Les anglophones, même s’ils sont ultra-minoritaires, réussissent à imposer leur langue partout où ils vont. Ils trouvent toujours un petit Québécois à-plat-ventriste pour leur parler en anglais.
Banlieue: la défrancisation tranquille, Louis Préfontaine, 26 novembre 2009
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