Appuyons Vigile
"Rassurez-vous, monsieur Cartier, Victor-Lévy Beaulieu est un grand combattant et, conséquemment, un fin stratège." -Andrée Ferretti.
Quant à moi, ni "pacifiste" ( ces -isme ou -iste renvoyant à un statut de "principe"du genre "prêt-à-porter" dont j`ai positivement horreur, comme de tout "protocole" et autres fariboles corsettantes) ni , aussi stratégiquement qu`on veuille qu`on le soit, partisant de quelque "passivité" que ce soit, je me fais une jouissance de très volontairement "dérapper", ce que j`estime savoir faire avec pertinence : c`est simple : la Liberté et son envers obligé la Responsabilité ne se trouvent nulle part ailleurs, par les temps qui courrent, que dans les vastes champs où Nous lancent les dits "dérappages" ; et la souffrance de l`ennemi est tellement belle à voir ! On aura compris que je ne sacrifie pas à la mode actuelle de l`ÂAAMOUUUR universel...eT que l`"esprit de "sacrifice " m`est radicalement étranger : "risques" et "chances " sont la substance même de la Vie et doivent être bien sur assumés ; mais je ne reconnais nulle transcendance ("sacrifice" renvoyant à "sacré" et RIEN ne l`étant à mes yeux, tout étant donc "discutable") qui mérite que je me "sacrifie" pour elle .
Me heurte aussi de front cette PASSIVITÉ que vous ne pouvez éviter de mentionner parmi les éléments constitutifs du "pacifisme" et qui laisse le champs libre à l`ennemi...pour qui le "fair play", que Nous Nous efforçons pathétiquement de pratiquer en y voyant naïvement une sorte de vertu suprême, n`a jamais été qu`une entourloupette d`anglais soucieux de pouvoir circuler le dos tourné et dormir en paix( !) au milieu de leurs victimes.
Allons donc : VLB n`est pas un "Pacifiste" ! Georges-Étienne Cartier, 27 septembre 2008
via-1 Retour sur un dérapage: Les critiques virulentes contre Michaëlle Jean, Robert Barberis-Gervais, 28 septembre 2008 qui m'a mené là:
Lors de la tourmente « McCartney », la clameur réprobatrice étaient bien davantage le fait de nationalistes ou de souverainistes désinformés, que le fait de toutes autres personnes. Si déjà, les souverainistes n’abondent pas dans telle dérives, il est fort à parier qu’elles fassent long feu aussitôt lancées.
Je vois dans la faillite des toutes récentes tentatives canadianisatrices questionnant l’utilité du Bloc, accusant les artistes « gâtés » de faire fausse route, l’effet de la discipline souverainiste qui n’a pas mordu à l’hameçon, parce qu’ils ont compris la leçon « McCartney ». Les pages de Vigile ne sont pas étrangères à ce revirement de situation. Les pourfendeurs souverainistes de l’utilité du Bloc se sont finalement rangés derrière les nombreux partisans de son utilité. On n’a plus été valablement autorisé à prétendre que nous étions divisés. Nous ne l’étions ici d’évidence plus.
La parole souverainiste contrée - La désinformation et les dérives médiatiques, Luc Archambault, lundi 29 septembre 2008
Libellés : indépendance, québec